Magi tome 13 de Shinobu Ohtaka

Année d'édition : 2013
Edition : Kurokawa
Nombre de pages : 192
Public visé : Young Adult
Quatrième de couverture :
Une aventure épique au cœur des 1001 nuits !Aladin est un jeune garçon étrange qui ne se sépare jamais de sa flûte. En effet, elle abrite Hugo, un géant à la force surpuissante. Aladin va faire la connaissance d'Ali Baba qui voit en cette flûte magique un chemin rapide vers la fortune et la gloire. Les deux compagnons partent explorer de mystérieux labyrinthes qui attirent les aventuriers de tout le pays.

Mon avis :

Dounya a fini par mourir, laissant un Aladin très triste de n'avoir pu sauver la princesse. Aladin, qui a d'ailleurs décidé de partir lui aussi sur le même bateau que Hakuryû. Morgiane a elle aussi décidé de partir à la découverte du monde. Seul Ali-Baba ne sait pas encore ce qu'il va faire. Après que Sindbad leur ait montré ses pouvoirs, nos héros prennent à leur tour le chemin pour de nouvelles aventures, sans se douter qu'ils vont une fois de plus se retrouver ensemble pour lutter face à un même ennemi. 

Dans cet opus, c'est Ali-Baba qui est mis en avant. Le garçon se sent moins puissant et moins utile que ses amis. Très vite donc, il va chercher à améliorer sa force et sa manière de combattre en devenant gladiateur à Rehm. Leur voyage aurait pu bien se dérouler, sauf que des pirates vont leur voler leur cargaison et kidnapper les enfants du port où ils vont se rendre. 

On a le droit à une certaine évolution de nos héros, qui vont enfin voyager pour eux avant tout. Même si - forcément - ils vont devoir faire face à de nouveaux ennemis, en l'occurrence Madra, une femme qui kidnappe les enfants pour en faire ses guerriers, mais surtout ses enfants. On pourrait donc croire que c'est une femme pleine de bonté, mais on se rend bien compte que, même si elle aime ses enfants, elle les utilise à des fins personnelles. 

Visuellement, on a encore de bien beaux combats et le visuel de nos héros, qui utilise du revêtmage, est sensationnel. Une très belle surprise, une fois de plus ! 

 

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